JPM - Films - Notules - Août 2003

Notules - Août 2003

 

Plus courtes que les critiques, les notules traitent d’un ou plusieurs films, ou de sujets d’actualité en rapport avec le cinéma. Jusqu’en septembre 2004, elles provenaient de divers forums aujourd’hui disparus. Par la suite, elles s’en affranchissent et sont rédigées directement ici.

Œuvres citées (en italique, autres que des films) : Shakespeare in loveRoméo et JulietteLa nuit des roisTartuffeLe coût de la vieNadiaBirthday girlUne employée modèlePirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl – Pirates of the Caribbean: the curse of the Black Pearl – Queer as folkPères et filsLes égarésPhone gamePhone boothAmours suspectesUnconditional love – Titanic – Six feet under – Le mariage de mon meilleur ami – À cinq heures de l’après-midi – Panj é asr – A las cinco de la tarde – Le tableau noir – Scaramouche – Les trois mousquetaires – Show boat – The Eddy Duchin story – Le guépard

Personnes citées : John Madden – San-Antonio – Shakespeare – Gwyneth Paltrow – Philippe Geluck – Willy – Laurent Ruquier – Élizabeth I – Elizabeth II – Gérard Miller – Raphaël Mezrahi – Isabelle Alonzo – Steevy Boulay – Fabrice Luchini – Philippe Le Guay – Vincent Lindon – Lorànt Deutsch – Isild Le Besco – Claude Rich – Jez Butterworth – Nicole Kidman – Mathieu Kassovitz – Vincent Cassel – Jacques Otmezguine – George Bush – George W. Bush – François Morel – François Berléand – Gore Verbinski  – Johnny Depp – Billy le Kid – Michel Boujenah – Philippe Noiret – André Téchiné – Emmanuelle Béart – Gaspard Ulliel – Michel Blanc – Patrick Le Lay – Kiefer Sutherland – Colin Farrell – Forest Whitaker – Joel Schumacher – Steven Spielberg – Kathy Bates – Leonardo DiCaprio – Julio Iglesias – Rupert Everett – Julie Andrews – Jack Noseworthy – P.J. Hogan – Samira Makhmalbaf – Federico Garcia Lorca – Gene Kelly

Shakespeare in love

Lundi 4 août 2003

Réalisé par John Madden

Sorti aux États-Unis le 3 décembre 1998

Sorti en France le 10 mars 1999

Il y a presque un an, j’avais un peu contesté le qualificatif de « chef-d’œuvre » appliqué à Roméo et Juliette – la pièce –, et quelqu’un avait mentionné le film Shakespeare in love. Je n’avais pas vu ce film, et n’avais pas eu envie de le voir quand il est sorti. Il se trouve qu’hier soir, il est passé sur TF1, dans l’habituelle version massacrée (dialogues doublés, image recadrée), et que je l’ai regardé. Je lis dans mon magazine de télé que « le film est enthousiasmant », et, croyez-moi ou allez vous faire repeindre en vert (comme disait San-Antonio), je l’ai, moi, trouvé inintéressant, très peu inattendu et passablement bébête par moment.

À la base, une idée de scénario pas trop mauvaise : Shakespeare est amoureux (mais pourquoi n’avoir pas traduit le titre, qui signifie précisément cela ?), et d’une fille riche, mais ne peut pas l’épouser, car elle est promise à un autre. Ce qui lui inspire Roméo et Juliette, drame final en moins, et qu’il rédige au fur et à mesure. L’ennui est que, non seulement ces séances d’inspiration sur l’oreiller sont répétitives, mais encore, ce n’est pas crédible. Au début, la fille veut être comédienne à une époque où les femmes n’ont pas le droit de faire ce métier, alors elle se déguise en garçon et postule pour le rôle de Roméo, qu’elle obtient. D’où, plus tard, une scène où ce pauvre Shakespeare est en tête à tête avec la fille qu’il aime, à vingt centimètres d’elle, et, vu qu’elle s’est collé une moustache et une barbiche, il ne la reconnaît pas ! Même pas quand le prétendu garçon l’embrasse sur la bouche ! Afflelou aurait dû intervenir d’urgence. Et quand je vous aurais dit que la fille en question est jouée par Gwyneth Paltrow, qui possède autant de romanesque que Philippe Geluck et qui est deux fois trop âgée pour le rôle, vous imaginerez. D’ailleurs, tous les acteurs sont mal choisis, et plutôt moches. Cela ressemble, sur ce point, à une production française ! Je ne prétends pas que le film est mauvais, il se laisse regarder. Mais de là à pousser des cris d’admiration !...

Ici, Juliette se laisse séduire par Shakespeare. En fait, on a voulu jouer sur l’inversion (sans jamais mentionner que le dramaturge lui-même était attiré par les garçons) : alors que le rôle de Juliette était attribué à un jeune homme, la fille en quesion, qui s’appelle Viola histoire d’annoncer La nuit des rois, postule, grimée en garçon, pour le rôle de Roméo, et comme elle joue bien, on le lui donne. Et c’est elle qui viole presque (Viola qui viole, ha ha !) l’élu de son cœur. À la fin, quand la pièce se joue, l’acteur qui devait jouer Juliette est malade, et elle reprend au pied levé le rôle de ladite mademoiselle Capulet, tandis que Shakespeare joue Roméo, dont il a trois fois l’âge. Or le maire intervient pour faire arrêter tout le monde, puisque la loi a été violée (encore !), mais heureusement, la reine Elizabeth, qui assistait incognito au spectacle (on voit comme tout ça est vraisemblable) arrange tout, un peu comme l’Exempt dans la scène finale de Tartuffe.

Moi, je prends tout ça au second degré et je me marre, mais je dois être le seul... Ah ! pardon, on me soufle dans mon oreillette que, « En résumé, Juliette est un homme qui se déguise en femme, viole Elisabeth 1 (la 2 est hors concours), Shakespeare est attiré par Roméo qui se révèle être le Maire qui, lui, se déguise en Prince Charles pour échapper aux ardeurs de Willy, humoriste au Fou du Roi ». Excellent résumé ! Je le transmets à Ruquier, qui en fera sans doute la pièce de la rentrée. Avec Gérard Miller dans le rôle de la nourrice, Raphaël Mezrahi dans celui du Prince, Isabelle Alonzo en Mercutio, et Steevy Boulay dans celui de Juliette, bien entendu.

En bref : à voir à la rigueur.Haut de la page

Le coût de la vie

Mardi 5 août 2003

Réalisé par Philippe Le Guay

Sorti en France (Paris Cinéma) le 1er juillet 2003

Sorti en France le 30 juillet 2003

Le coût de la vie est très agréable à voir. Sur un fil conducteur assez lâche qui relie des personnages très disparates, il les montre tous préoccupés par l’argent, mais avec des attitudes bien différentes. Fabrice Luchini est un pingre maladif, doublé d’un constipé (association d’idée pas très originale, à mon avis, et un peu trop psychanalytique, mais passons...) ; Vincent Lindon est un panier percé, il veut toujours payer, désirant, plus ou moins consciemment, qu’on l’aime pour ça ; Loránt Deutsch est le jeune homme fauché mais qui adore rendre service, surtout aux jolies filles ; Isild Le Besco est une orpheline, héritière, à 18 ans, de huit millions d’euros, mais qui cache sa fortune en allant jouer les serveuses de restaurant, parce qu’elle en a marre d’être convoitée pour son argent ; Claude Rich, son oncle, patron d’une grosse entreprise, bazarde tout et laisse ses employés sur le pavé, parce qu’il en a plus qu’assez de travailler seize heures par jour. Et il y a l’infirmière, veuve et qui veut refaire sa vie, mais pas se vendre à un homme riche et trop vieux. Et la prostituée de luxe, qui, tout en plumant l’avare, lui apprend à vivre et à dépenser. Et l’huissier, venu saisir le prodigue couvert de dettes, et qui, suite à un quiproquo, doit conduire à la maternité la femme de celui-ci, absent, et qu’on prend pour le père... alors qu’il est homo. Et la mère de famille, bonne fille, mise au chômage par Claude Rich, qui ne se plaint jamais, qui a un gosse en rééducation fonctionnelle, qui ne peut plus payer les séances de piscine, et qui offre de payer avec son cul... ou avec de la pâtisserie, car elle est très bonne cuisinière (et le patron de la piscine qui s’excuse de préférer les gâteaux au chocolat !).

Voilà. Ce n’est jamais tragique, ça dit plein de choses, et on passe un bon moment. Enfin, je parle pour moi.

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Nadia

Lundi 11 août 2003

Réalisé par Jez Butterworth

Titre original : Birthday girl

Sorti en Italie (Festival de Venise) le 6 septembre 2001

Sorti en France le 6 août 2003

Voir Nicole Kidman dans un navet, Mathieu Kassovitz dans une daube ou Vincent Cassel dans une bouse, c’est un spectacle courant. Dans Nadia, ils sont tous les trois ensemble. Et devinez ce que ça donne ! Oui, vous avez gagné !

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Une employée modèle

Mercredi 13 août 2003

Réalisé par Jacques Otmezguine

Sorti au Canada (Festival de Montréal) le 30 août 2002

Sorti en France le 6 août 2003

Une employée modèle, film à ne voir que durant les canicules, histoire de profiter de la climatisation, raconte une machination montée par deux firmes états-uniennes d’informatique qui veulent acheter la boîte et le progiciel d’un Français, lequel ne veut pas les leur vendre, vu qu’il adore les yankees d’un amour aussi vibrant que celui porté par votre serviteur aux compatriotes de George Bush junior et senior. C’est la seule originalité du film. On regrette de voir François Morel et François Berléand se perdre dans cette collection de clichés, tellement usés que j’ai vu mes voisins ricaner, au lieu de dormir. Un téléfilm du même réalisateur passe ce soir sur France 2. Un hasard, certainement.

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Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl

Lundi 18 août 2003

Réalisé par Gore Verbinski

Titre original : Pirates of the Caribbean: the curse of the Black Pearl

Sorti aux États-Unis (Disneyland) le 28 juin 2003

Sorti en France le 13 août 2003

Sur la foi d’une critique favorable dans « Le Canard enchaîné », je suis allé voir Pirate des Caraïbes. Eh bien, le film n’est pas déshonorant, mais il tombe dans le travers habituel des films d’aujourd’hui : musique du genre vacarme omniprésent et sans la moindre imagination (tout ce qui compte, c’est qu’elle ne cesse jamais), débauche de cascades, surabondance des trucages numériques, ce qui les banalise en fin de compte. Les réalisateurs semblent aussi avoir oublié qu’il faut laisser le spectateur souffler de temps à autre, et qu’un excès d’agitation finit par endormir au lieu de tenir éveillé.

Quand au personnage de pirate joué par Johnny Depp, il est aussi invraisemblable que les diverses versions de Billy le Kid à l’écran : je doute fort qu’un véritable pirate ait jamais eu ce style maniéré tout droit sorti de Queer as folk !

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Père et fils

Jeudi 21 août 2003

Réalisé par Michel Boujenah

Sorti en France (Festival de Cannes) le 16 mai 2003

Sorti en France le 20 août 2003

Père et fils, film de Michel Boujenah, ne casse pas trois pattes à un canard. Les quatre acteurs font leur numéro, mais c’est tout. En fait, il ne se passe pas grand-chose, et on s’ennuie un peu.

De plus, ce n’est pas bien réalisé. La séquence où Philippe Noiret croit qu’un de ses fils est homosexuel est très maladroite ; dans la scène où la voiture, qu’il est censé conduire, est percutée par un camion, on voit bien que la bagnole est vide ; et le Canada est vraiment mal filmé, au point qu’on se demande pourquoi Noiret s’extasie devant les paysages. Allez voir autre chose, et ne croyez pas Allociné, qui a collé quatre étoiles à cette bluette !

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Les égarés

Vendredi 22 août 2003

Réalisé par André Téchiné

Sorti en France (Festival de Cannes) le 16 mai 2003

Sorti en France et en Suisse romande le 20 août 2003

Vu Les égarés, de Téchiné. Un film reposant, après les cascades de trucages numériques qu’on a eu à subir récemment. L’histoire est racontée simplement, mais pas de manière conventionnelle. Emmanuelle Béart et Gaspard Ulliel, qu’on avait vu dans le dernier film de Michel Blanc, sont très bien. Seule restriction, une scène d’amour tout à fait inutile et qu’on voit venir depuis le début. J’avais l’impression d’entendre la marionnette de Patrick Le Lay aux Guignols : « Mais quand est-ce qu’ils vont baiser ? Qu’ils baisent, bon Dieu, qu’ils baisent ! ». Souhait exaucé.

Naturellement, on va me dire que cette scène est nécessaire pour faire comprendre à demi-mot qu’Yvan a déjà connu la sodomie dans sa maison de correction. Bof...

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Phone game

Mercredi 27 août 2003

Réalisé par Joel Schumacher

Titre original : Phone booth

Sorti au Canada (Festival de Toronto) le 10 septembre 2002

Sorti en France le 27 août 2003

Ils sont bien aimables, les distributeurs français de films hollywoodiens : ils ont rebaptisé en Phone game le film Phone booth, histoire de me fournir de la matière d’un Titre À La Con supplémentaire. C’est l’histoire d’un mec, normal, blanc, qui téléphone à une fille dont il veut faire sa petite amie, mais d’une cabine publique, car sa femme surveille les factures de son téléphone mobile. Or le gars est un attaché de presse, donc un fieffé menteur, et il a des ennemis. L’un d’eux, joué par ce pauvre Kiefer Sutherland qu’on ne voit que trente secondes à la fin, et de dos, appelle la cabine, le baratine pour qu’il reste en ligne, menace de le tuer avec un fusil s’il raccroche, et lui expose tout un tas d’exigences, dont une confession publique de ses mensonges. Le hic, c’est que si le sombre héros avait raccroché tout de suite ou s’était abstenu de décrocher, il n’y aurait pas de film. À quoi ça tient !

Tout ça est terriblement calme et sage, si on laisse de côté Colin Farrell, qui s’agite et transpire beaucoup, par contraste avec le policier, Forest Whitaker, toujours aussi nounours. De temps en temps, je dormais un peu. Faut dire que Joel Schumacher n’est pas un très bon réalisateur. Si Spielberg s’était occupé de la réalisation, il aurait mis dix mille badauds dans la rue, trente voitures de police, autant de camions de pompiers, des cascades, des explosions, un ou deux enfants séparés de leurs parents, et une soucoupe volante.

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Amours suspectes

Jeudi 28 août 2003

Réalisé par P.J. Hogan

Titre original : Unconditional love

Sorti au Royaume-Uni le 23 août 2002

Sorti en France le 27 août 2003

Aujourd’hui, j’ai vu un film que j’ai failli rater, parce qu’il est mal noté dans la presse. Pour ne pas changer, les distributeurs français se sont empressés de lui donner un Titre À La Con, cette fois particulièrement nauséeux. En effet, alors que son titre original est Unconditional love, ils l’ont rebaptisé Amours suspectes. Quand je vous aurai dit que l’amour en question est un amour homosexuel, vous comprendrez vite en quoi c’est suspect. C’est vrai, ça, un amour entre deux garçons, c’est louche, je me demande même si ce n’est pas contagieux.

La vedette est l’excellente Kathy Bates. Ne me dites pas que vous ne savez pas qui c’est, vous la connaissez tous. Âgée de 60 ans, c’est elle qui jouait Molly, la femme du peuple devenue riche et qui détestait les bourgeois, dans Titanic (elle prenait Leonardo en amitié, détail qui suffit à la rendre sympathique). Elle a joué dans des tas de films, et elle est aussi réalisatrice (plusieurs épisodes de Six feet under). Ici, c’est l’histoire d’un crooner anglais, genre Julio Iglesias, qui a toujours caché qu’il préférait les garçons – mais il est anglais, n’est-ce pas ? –, et qui se fait assassiner. Une fan de Chicago va élucider l’affaire, avec l’aide de son petit ami à lui, joué comme d’habitude par Rupert Everett, abonné aux rôles de gays, vu qu’il connaît ça par cœur. C’est bourré de scènes marrantes, et je vous recommande la bagarre dans l’église, pendant la cérémonie funèbre, avec Julie Andrews qui chante « Tout est calme et gai » histoire de ramener la paix, et le mort, dans son cercueil, vêtu en femme ! Il y a aussi un joli garçon, joué par un acteur au nom bizarre, Jack Noseworthy. Détail : il a été le seul garçon à jouer Peter Pan sur scène (quoique comme doublure) à Broadway, en 1990, puisque le personnage est toujours interprété par une fille !

Pas un chef-d’œuvre, mais on passe un bon moment. Le film est signé P.J. Hogan, qui avait fait Le mariage de mon meilleur ami.

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À cinq heures de l’après-midi

Vendredi 29 août 2003

Réalisé par Samira Makhmalbaf

Titre original : Panj é asr

Sorti en France (Festival de Cannes) le 16 mai 2003

Sorti en France le 27 août 2003

Vu À cinq heures de l’après-midi, de Samira Makhmalbaf. Le titre fait allusion au poème A las cinco de la tarde, et on se demande ce que Lorca et la mort d’un taureau viennent faire en Afghanistan. La réalisatrice, fille de son père, ce qui aide, n’a que 23 ans, et a déjà écrit et réalisé trois longs métrages, plus un élément d’un film à sketches, tous présentés à Cannes. Mais, à propos de son précédent film, Le tableau noir, j’avais noté sa propension à filmer des choses ennuyeuses de façon ennuyeuse, et rien n’a changé ici. On voit interminablement de longues cohortes de gens pauvres et affamés cheminant dans des étendues désertiques, avec des enfants malades et des vieillards édentés.

Le personnage central est une jeune fille qui s’est mis en tête de devenir présidente de la République, mais comme elle ne sait pas comment faire, elle interroge un soldat français pour lui demander comment Chirac a réussi à se faire élire. C’est le seul passage du film où l’on a l’occasion de se réveiller un peu. Mais il est placé au milieu du récit ; après ça, on se remet à regretter son oreiller.

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Le DVD de Scaramouche

Samedi 30 août 2003

On n’a presque plus rien à souhaiter de la vie quand on a trouvé le DVD de Scaramouche. Ce qui m’est arrivé ce matin, à la FNAC. Zone 1, mais c’est mieux que rien. Le réalisateur George Sidney, mort l’année dernière, est injustement méconnu. Il a tout de même fait Les trois mousquetaires (la meilleure version, avec Gene Kelly), Show boat et The Eddy Duchin story, entre autres.

Il ne me reste plus que Le guépard à trouver... quand quelqu’un l’aura édité, car ça n’existe pas en DVD. Ahurissant !

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Dernière mise à jour de cette page le mardi 8 septembre 2020.